Nous aimons confronter notre matière et nos processus chorégraphiques aux groupes de danseurs amateurs ! Nous y trouvons une énergie vive, la diversité des corps et des regards ainsi qu’un foisonnement étonnant d’idées et d’envies.
Prendre part à un processus créatif est une expérience que nous souhaitons à tous : plonger au cœur de sa puissance inventive, composer en groupe, poursuivre un objectif commun, improviser observer ressentir et expérimenter le champ infini des possibles de sa créativité ! C’est ce que nous faisons, notamment auprès des danseurs de l’association Danse en Seine, avec le projet “Sur le banc devant le café de la jeunesse perdue”.
Sur le banc devant le café de la jeunesse perdue
Ce projet est mis en laboratoire par Elsa Lyczko auprès des danseurs de Danse en Seine en 2020. Creusant toujours le rapport des mots au mouvement dans sa créativité, elle s’intéresse ici au “mot-à-geste” comme processus chorégraphique avec une double envie : travailler autour du répertoire de la chanson française et permettre à des amateurs d’aborder la création chorégraphique dans un cadre simple, rapide et ludique.
Une situation :
un banc devant un café, où passent ces âmes du quotidien, et de vieilles chansons françaises, de celles que l’on aime en secret et que l’on chante sous la douche.
Un processus chorégraphique :
le mot-à-geste
3 ateliers de création de 2h par participant
Et voilà “Sur le banc devant le café de la jeunesse perdue…”. Sous un air de karaoké du geste, Guy Marchand, France Gall, Francoise Hardy retrouvent deux buisness men, un clochard au coeur tendre, un manifestant égaré, une femme seule…
“Sur le banc devant le café de la jeunesse perdue, il ne se passe rien, sauf la vie…”
Ce processus chorégraphique ludique permet à TOUS (danseurs ou non) d’aborder la création chorégraphique et a vocation à se déployer au sein d’autres groupes de danseurs amateurs ! Contactez-nous !